Le quotidien "Fact" écrit :
Le ministère de la Justice propose de modifier les tarifs d'un certain nombre de services fournis par le CCA. En voici quelques-uns. Les amendements à la loi "sur les obligations de l'État" prévoient d'allonger la durée de l'enregistrement du divorce en échange de frais supplémentaires visant à réduire les taxes fixées pour le service, dans le but de promouvoir la préservation de la famille. Conformément aux dispositions de la loi « sur l'enregistrement des actes de résidence civile », une personne qui a atteint l'âge de 18 ans a le droit de changer de nom, qui comprend le prénom, le nom et le patronyme.
L'enregistrement d'un changement de nom est autorisé sans aucune justification. Selon la réglementation actuelle, il existe de nombreux cas où une personne soumet une double demande de modification de ses données, revenant aux données précédentes après un court laps de temps, ou soumet une demande de changement de nom, ne modifiant qu'une seule lettre de ses données. Il est proposé d'augmenter le taux d'imposition en cas de changement de nom.
Les documents à présenter pour l'acte d'enregistrement du séjour civil concernant les citoyens étrangers sont plus nombreux et diversifiés et, du point de vue de l'étude, laborieux. Par exemple, la quantité de travail et le temps alloué à l'enregistrement public du mariage pour les citoyens de la RA sont nettement inférieurs à la quantité de travail et au temps alloué à l'enregistrement du mariage pour les citoyens d'un pays étranger. Il est donc conseillé de fixer des frais d'État pour l'enregistrement du mariage des citoyens étrangers, y compris si une seule des parties qui se marient est citoyenne de la RA.
Sur la base des mêmes circonstances, il est opportun de fixer le montant de la taxe de base pour la reconnaissance de paternité (maternité) pour les citoyens étrangers à trente fois la taxe de base, ainsi que pour l'acte d'enregistrement de l'adoption d'un enfant par des citoyens étrangers, de fixer la taxe de l'État à hauteur de deux cents fois la taxe de base.
D'autre part, dans les cas d'implication de citoyens étrangers dans des domaines d'importance stratégique pour l'État, les impôts de l'État seront également augmentés.
La fonction de modification de l'acte d'enregistrement du séjour civil est principalement utilisée en cas d'incohérence entre l'enregistrement du demandeur et la pièce d'identité, afin de faire correspondre les données personnelles de la personne dans l'acte d'enregistrement du séjour civil avec sa pièce d'identité. Entre-temps, suite aux corrections et aux ajouts apportés à l'acte d'enregistrement de la résidence civile, il est souvent nécessaire de modifier la pièce d'identité. Dans ce cas, la personne aura la possibilité de faire correspondre ses données dans l'enregistrement de l'acte de résidence civile avec la pièce d'identité (grâce à la fonction de modification), pour laquelle une taxe d'État d'un montant de trois fois l'impôt de base sera imposée.
Dans l'autre cas, la personne aura la possibilité de corriger ou de compléter l'acte enregistré sur la base des documents présentés par elle, le cas échéant, en modifiant sa pièce d'identité conformément à la correction effectuée. La taxe d'État pour le service spécifié est cinq fois supérieure à la taxe de base.








