Le quotidien Zhoghovurd écrit :
« Depuis le 1er avril 2025, Hayk Nazaryan, selon le Premier ministre, est devenu attaché commercial de la République d'Arménie pour 3 ans en République islamique d'Iran. Le quotidien Joghovurd a appris que pour maintenir Nazaryan en Iran, le gouvernement arménien allouait de l'argent rond. Selon le gouvernement, des discussions sont actuellement en cours avec l'Iran sur la création de sociétés communes ou la création de succursales d'entreprises iraniennes, ainsi que sur le processus visant à faciliter les exportations de l'Arménie vers l'Iran avec certificat. Il est donc nécessaire d’avoir un attachement commercial en Iran pour résoudre ces problèmes.
Le gouvernement prédit que la création d'un attachement à l'économie arménienne aura des effets positifs sur l'économie arménienne, et que les investisseurs iraniens seront intéressés par la zone franche économique « Meghri » et la ville d'ingénierie en construction. Les formulations rappellent l'histoire de la triste et de la corruption de la Failed Anif Foundation. Le directeur de la résidence, de la nourriture, des études, des services de Hayk Nazaryan, l'employé de tout cela, alloue 28 millions 903 mille drams, soit près de 76 mille dollars américains.
Ce qui est intéressant, c'est que Nazaryan est nommé depuis le 1er avril, mais le budget de l'État a été alloué à la protection de l'attachement commercial du 1er mars au 31 décembre. La rémunération de son travail est de 12 millions 754 mille drams, 4 millions 808 mille drams ont été alloués au loyer et à l'achat de biens immobiliers et d'équipements, aux frais de services publics, aux frais postaux, aux frais de communication, aux journaux et autres dépenses et autres dépenses pour 3 personnes (vraisemblablement pour ses enfants).
Il est intéressant de noter que nous avons pratiquement tout vu concernant le développement des relations entre l’Arménie et l’Iran, sauf que le gouvernement arménien persuade l’Iran d’être la seule issue pour sortir du monde. " Détails dans le numéro d'aujourd'hui du quotidien "Zhoghovurd".