Exopolisakhard EPS3.9, qui a été séparé de la mer de Spongiibacter nanhainus, capable de fournir l'autodestruction des cellules cancéreuses. Cette conclusion était des scientifiques de la China Academy of Sciences. Les résultats de l'étude ont été publiés dans le Faseb Journal.
La molécule EPS3.9 se compose de manoz et de glucose. Des tests de laboratoire ont montré que Exopoolsakhard peut provoquer une pyroptose, une forme inflammatoire de mort mobile programmée, dans les cellules tumorales. Ce mécanisme diffère de l'apoptose classique. Il est plus agressif, accompagné de la décadication de la membrane mobile et des signaux de lancement capturant le système immunitaire.
Les scientifiques ont découvert que EPS3.9 affecte directement les molécules de graisse de la membrane cellulaire. Cela provoque une réaction en chaîne qui entraîne une inflammation et des cellules à l'intérieur des cellules. Cette influence a été observée dans les cultures mobiles humaines engagées dans la modélisation de LieCEM. Dans le cancer du foie, l'EPS3.9 a non seulement ralenti la croissance des tumeurs, mais a également intensifié la réponse immunitaire à elle.
Selon le docteur Chaom, docteur de l'Académie des sciences de la Chine, cette découverte souligne le potentiel des micro-organismes marins comme source de nouveaux médicaments. L'étude ouvre la perspective de traiter l'activation de la pyroptose, qui peut être une alternative à la chimiothérapie traditionnelle. Cette approche est plus sélective et peut être moins toxique pour les tissus sains.
De plus, l'activation du système immunitaire augmente la probabilité d'EPS3.9 de se combiner avec les immunosons existants.
Cependant, les scientifiques soulignent que les résultats sur les animaux ne reflètent pas toujours pleinement la réaction du corps humain. Des essais cliniques à grande échelle sont nécessaires pour confirmer l'efficacité et l'innocuité de l'EPS3.9.
Traduction de: euromedia24.com