Le «fait» quotidien écrit:
Le président de la Fédération de football de l'Arménie Armen Melikbekyan, malgré les plaintes et les demandes de la majorité de la communauté du football, a gardé sa "chaise" à tout prix. Eh bien, du moins pour l'instant.
Apparemment, lui ou son adjoint a réussi à persuader Nikol Pashinyan. Ce n'est pas une coïncidence qu'ils parlent du Premier ministre, convaincus que ceux qui se plaignent contre eux sont des "conspirateurs", et ils sont un "puch" maximal.
Et maintenant, depuis qu'il surmonte cette "phase", Melikbekyan a commencé à "supprimer" "Mur" de ceux qui ont été impliqués dans le processus de demande de sa démission ou du moins de sa démission. Il est clair que nous parlons d'eux qui ont du poids et de la reconnaissance dans le monde du football.
Bien qu'avant le "durcissement de la jambe", il a essayé de "résoudre leurs problèmes" qui a exigé sa démission. Par exemple, après le début des actions en octobre, selon nos informations, le secrétaire général de l'Arménie de l'Ouest, Arsen Zakaryan, a été licencié.
Et après avoir "persuadé" Pashinyan, Melikbekyan a traversé l'affaire.
En particulier, selon nos informations, le président de la FFA a demandé à envoyer une note à l'UEFA, "accusant" un journaliste de l'UEFA à l'accord de travail focal européen avec ce dernier. La principale "accusation" est que le correspondant de l'UEFA en Arménie a appelé le championnat et appelle à la désobéissance. Nos recherches, cependant, ont montré qu'un tel appel public n'était pas par le correspondant de l'UEFA, Mher Khudaverdyan. Le maximum que nous avons rencontré sur les plateformes de réseaux sociaux était la position de ses footballeurs, en particulier les échecs de la direction de la fédération et, par conséquent, l'accord avec la demande de démission. Pas plus. Le seul discours public "dur" que nous avons remarqué était qu'il a condamné la violence contre les fans des soldats de la paix le 1er mars au stade Shengavit. En d'autres termes, il n'y avait aucune action qui a contrecarré par lui, le statut du journaliste de l'UEFA.
Il s'avère que le président de la FFA n'est pas seulement Nikol Pashinyan, mais aussi pour de fausses informations, mais aussi la direction de l'UEFA.