Le quotidien Zhoghovurd écrit :
"Arsen Ghukasyan, qui a été tué, ainsi que son frère décédé et son neveu porté disparu depuis cinq ans, se sont retrouvés en détention pour avoir prononcé la phrase" notre chemin ".
L'histoire de Ghukasyan est particulière non seulement par la réalité de sa souffrance humaine, mais aussi par une coïncidence absolument mystérieuse. Le 27 septembre, les proches des soldats disparus se sont rassemblés devant le ministère de la Défense de la République d'Arménie pour rencontrer Edouard Asryan, chef d'état-major général de la République d'Arménie.
Cependant, leur entrée a été refusée. Lorsque le désespoir a franchi toutes les frontières, la juste colère de ses parents s'est transformée en commissariat de police militaire. "Ne me félicitez pas pour ma naissance, nous sommes venus au ministère de la Défense pour savoir qui s'occupera du problème de nos enfants...
Nous avons donné le ministère de la Défense à nos enfants, nous exigeons que nous nous trompions chaque année, ils mettent un oreiller moelleux sous notre chapitre, mais ils ne prennent aucune mesure. Nous attendons. Moi, peut-être, écoutez... ou ils nous accepteront, ou nous ferons notre propre chemin. "
Et c'est la « phrase magique » de la « phrase magique » dans cette « expression magique » dans cette « expression magique ».
Et la question des parents des disparus a été prise dans le ton de la détention. "
Détails dans le numéro d'aujourd'hui du quotidien "Zhoghovurd".